jeudi 14 mai 2009

Une région, un journal

Dans chaque région, il existe une presse proche des gens. Il peut y en avoir plusieurs par régions. Comment se conçoit-elle et comment s’organisent les journalistes locaux ?
Dans notre région, il y a « La Voix du Nord » mais dans d’autres régions comme l’Auvergne, on trouve « La Montagne ». Dans le sud, il y a « La Dépêche du midi ». C’est ce que l’on a pu voir dans l’exposition du forum de la presse de Beuvry au parc de la Loisne. On peut y voir l’organisation ou la conception de la presse locale.

Le Bilan du forum : positif

Cette année le forum de la presse a été un grand succès. Les élèves se sont amusés à jouer aux journalistes. Ils ont pu pendant 3 jours découvrir les différentes formes et supports d’informations. Nous avons interviewé les organisatrices de ce forum.

Stéphanie Budyck, une des organisatrices

Combien élèves sont venus pendants les 3 jours ?
Il y a 600 élèves de collège, lycées et lycées professionnels.

Combien y-a-t-il eu d’établissements pendant ces 3 jours ?
Treize établissements sont venus pendant ces trois jours.

Qu’est-ce qu’un forum ?
Le mot vient de la Rome Antique. Le forum permet grâce à des ateliers de se mettre dans la peau d’un journaliste télévision ou encore d’un journaliste radio, d’un journaliste en ligne, d’un journaliste papier.

Pourquoi y-a-t-il eu un forum de la presse à Beuvry ?
Tous les établissements aux alentours de Béthune organisent tous les ans un projet. Le projet de cette année est le forum de la presse. C’est l’occasion de faire se rencontrer les élèves de tous les établissements.

Comment cela s’est-il passé ?
Cela s’est très bien passé. Les élèves sont très contents, les professeurs et les journalistes aussi.
Y-a-t-il eu des problèmes durant ces trois jours ? Avez-vous eu des problèmes avec les ordinateurs ?
Non, il n’y a pas eu de problème… sauf de petits bugs mais rien de grave.

Est-ce que vous avez aimé ces trois jours ?
Oui, c’était bien mais fatigant. C’était une belle expérience à refaire l’an prochain !

L’Avenir de l’Artois et l’avenir d’un article

Cet après-midi, au Forum de la presse à Beuvry, nous avons pu voir un groupe de collégiens d’Annezin qui participaient à un atelier sur la réalisation d’articles. Cet atelier était organisé par le journal L’Avenir de l’Artois.
Nous avons posé des questions à Virginie, journaliste, qui organisait cet atelier. Voici ce qu’elle nous a répondu : « Les collégiens d’Annezin sont divisés en trois groupes autour des sujets tels que le journalisme télévisuel, l’informatique et les adolescents.
Ils ont effectué des interviews à Béthune, Bruay, Lens et Arras avant de venir. »

Nous avons pu constater que certains élèves cherchaient d’autres informations dans l’exposition du forum, interviewaient les organisatrices, écrivaient des articles sur internet.
Au final, il y aura une publication des articles réalisés par les collégiens dans le journal et sur internet.

Droit dans le mille pour Patricia Wach

En 1999, Patricia Wach a été championne de France de tir à la carabine. Elle pratique également le tir à l’arbalète au sein du club de Beuvry Préolan.
Aujourd’hui âgée de55 ans, elle a 3 enfants et occupe également un poste de conseillère municipale à Beuvry, notamment dans le sport pour aider les jeunes.
Après avoir arrêté l’école à 17 ans, elle s’occupe de ses enfants. Pourtant, elle réussit à reprendre ses études pour passer et obtenir son Bac en 1998, à 42 ans. Par ailleurs, elle possède également un CAP couture et un CAP cuisine.

La SEGPA de Debeyre est sur le coup !

Cet après midi, les 18 élèves de la 4ème SEGPA du collège Albert-Debeyre de Beuvry se sont rendus au Forum de la presse qui a commencé mardi et se termine ce soir.
Plusieurs groupes ont été constitués sur différents sujets :
La presse régionale : Britanie Waittelle, Catherine Louchart, Stessy Mortreux ;
Interview de Patricia Wach : Patrick Lemaire, Pierre Backhauss, Jordan Chemin ;
Rencontre avec Louise Dhaine : Samantha Stiller, Laura Masse, Djolivan Eripret ;
Bilan du Forum : Samuel Zandek, Justine Deligny, Ophélie Delcourt ;
Atelier sur l’Avenir de l’Artois : Stephen Laurence, Romain Zandek, Tiffanie Evrard.
Equipe de présentation : Annabelle Kuras, Adam Houvenaghel, Aymeric Barot.

Interview de Louise Dhaine










Nous sommes trois élèves de la 4ème S.E.G.P.A. du collège Albert Debeyre de Beuvry : Masse Laura, Eripret Djolivan, Stiller Samantha .
Nous avons interviewé Louise Dhaine du collège Verlaine de Béthune en 3ème 3 qui a gagné le concours de la meilleure critique littéraire catégorie collège.

1) Pourquoi as-tu aimé ce livre ?
Car il est du genre fantastique, qui est mon genre préféré, et ça fait appel à l’imaginaire

2) Pourquoi as-tu participé à ce concours ?
Parce ce que le professeur de français, Madame Delaforge, nous l’a proposé et toute la classe a accepté de participer ; et moi Louise Dhaine j ai eu l’honneur de gagner ce concours de critique

3) Où habites-tu ? Quel âge as-tu ?
J’habite à Hesdigneul-les-Béthune et je vais avoir 15 ans au mois de septembre

4) Lis-tu beaucoup ? Quel est ton auteur préféré ? Quel est ton livre préféré ?
Oui je lis beaucoup surtout pendant les vacances. Mon auteur préféré est Pierre Bottero, mon livre préféré est la trilogie « La quête d’Ewilan »

5) Es-tu forte en français ?
J’ai un niveau normal mais je suis très nulle en orthographe

6) Y a-t-il eu des jaloux que tu connais ?
Non, tout le monde était content pour moi.

7) Es-tu heureuse des prix que tu as eus ??
Oui je suis heureuse des livres que j’ai reçus en prix, pour moi c’est une victoire personnelle

La liberté de la presse en danger ?

Aujourd’hui, nous avons visité l’exposition sur la liberté de la presse, organisée par la maison des journalistes de Paris et l’association « Censuré », et présentée dans le cadre du Forum.
La liberté de la presse existe depuis le 24 août 1789. Depuis, elle n’a cessé de se développer, pour être désormais reconnue dans plus de 160 pays. La presse est l’un des garants de la démocratie. Il est important de la préserver. Les élèves, qui sont de futurs citoyens, doivent se forcer à lire la presse.
Trop de journalistes agressés, menacés, emprisonnés à cause d’une diffamation, jusqu'à être tués, seulement pour quelques mots ou pour une photo. Des journalistes sont morts pour nous. Dans l’exposition, est évoqué l’exemple d’Anna Politkovskaïa : cette journaliste a été tuée en Russie d’une balle dans la tête pour avoir dénoncé la guerre tchétchène. En France, les insultes et la diffamation sont sanctionnées par la justice, mais uniquement pour des peines d’amende.

Être journaliste, c’est être libre


Rencontre avec Carine Heude, du service communication de la mairie de Beuvry.
Le métier de journaliste demande beaucoup d’attention et de curiosité, il faut s’intéresser à tout, se poser des questions autour de nous, être journaliste c’est faire des articles, mettre des photos, faire la mise en page… Les journalistes signent leurs articles par leurs initiale ou leurs prénom.

Les gens qui vont sur le terrain (sur le lieu) assistent directement à l'événement, écrivent le papier, prennent des photos, publient les articles, l’envoient au secrétaire de rédaction, qui le met en page. Ensuite, une lecture se fait, tout comme le choix des photos, dont le niveau est variable car parfois les correspondants n’ont pas une formation spécifique. Pour plus de rapidité, les journalistes travaillent beaucoups par mails.

Le journal a évolué, le format est plus sympathique à la lecture, les pages sont en couleur, la communication publique regroupe plusieurs métiers : photographe, infographiste …
Le droit réservé indique qui écrit l’article, le directeur de la publication ainsi que les coordonnées et les collaborateurs.

Le journaliste peut donner son avis dans l’article, un bon journaliste se doit d’avoir l’esprit critique.
Une photo d’articles ne peut pas se faire sans l’avis d’autrui. Les photos sont parfois retouchées et recadrées. Comparés à la télévision, les journaux de presse sont beaucoup plus réalistes. La première règle du journaliste est de vérifier son information. Un bon journaliste doit savoir gérer les NTC (Nouvelles Techniques de Communication). Le métier de journalisme ne facilite pas la vie de famille.

Des lycéens apprentis-reporters à Malraux

Notre groupe est constitué de 12 personnes. Nous venons du lycée André-Malraux à Béthune.
Nous sommes répartis en trois groupes :
Alison Creton, Stéphanie Cordonnier, Lison Delalleau et Élodie Bouchez, qui travaillent sur les lycéens de Malraux présents à l’atelier mis en place avec l’Echo du Pas-de-Calais ;
Céline Falkieviez, Céline Bénony, Océane Simon et Fanny Raeckelboom, qui s’intéressent à la liberté de la presse ;
Fanny Gonçalves, Élodie Lecat, Joye Mijuin et Vicky Vermuse, qui planchent sur le métier des journaliste, en quoi ça consiste, et les difficultés de cette profession.

Le collège Debeyre sur le terrain


Ce matin, 11 élèves du collège A. Debeyre sont arrivés au parc de la Loisne de Beuvry pour le Forum de la presse : Morgane Decorte, Pauline Lemaire, Eva Davault, Kelly Lehu, Lorédane Emma, Noémie Carbonnier, Julien Leblanc, Rémy Buidin, Lovane Delecourt, Renaud Kuhfeld, Alexis Aubin.
Nous sommes venus avec la documentaliste Mlle Virginie Charpentier et notre professeur de français Mme Cécile Senis.
Nous avons rencontré la documentaliste Mme Hélène Le Gallois et le journaliste Mr Vincent Le Gallois qui nous ont accompagnés durant toute la matinée. On est venus pour voir comment on fait un journal, une interview et pour présenter les critiques littéraires.

Une nouvelle médiathèque à Beuvry

La municipalité de Beuvry a lancé le chantier d’une nouvelle médiathèque. Patrick Lefebvre, directeur de la médiathèque a accepté de répondre aux questions des élèves de la 5èmeB du collège A. Debeyre de Beuvry.
Cette nouvelle médiathèque se situe entre la mairie et l’église Saint Martin. Elle ouvrira fin 2009 ou début 2010. On y trouvera, comme aujourd’hui, des livres, des journaux et des magazines, des DVD, des CD de musique, et des ordinateurs pour accéder à Internet. L’ancienne bibliothèque n’offrait pas assez d’ouvrages donc il a été décidé, en 2006, d’en créer une nouvelle beaucoup plus grande pour accueillir plus de personnes. On ne connaît pas encore son nom.

Noémie Carbonnier, Alexis Aubin, Rémi Buidin, Lovanne Delecourt, Renaud Kuffelde, 5ème B, collège A. Debeyre de Beuvry

L’Echo du Pas-de-Calais avec les lycéens de Malraux

Nous vous présentons un groupe venant du lycée Malraux qui est constitué d’Émilie Desmaretz, Élodie Audidier, Sandy Bardeur, Angélique Cadart, Angélina Moreno Lopez, Éva Cretel, David Hillier, Mélody Lustre et Sabrina Brahimi. Ils travaillent sur les mauvaises relations entre les riverains et les lycéens, ils sont en reportage.
Ils se basent sur un article du journal datent du jeudi 7 mai. Ils s’intéressent au problème posé par les lycéens toute en s’aidant du journaliste Christian Defrance qui travaille pour l’écho du Pas-de-Calais. Leurs articles seront disponibles sur le site internet http://www.echo62.com/ .





Kevin Lion, Mélody Lustre et Elodie Lecat font partie des élèves dont les travaux paraîtront sur le site de l'Echo du Pas-de-Calais?

La gagnante du concours de critique littéraire, catégorie Lycée

La gagnante s’appelle Mélanie FRACKOWIAK , elle est au lycée d’Artois de Noeux-Les-Mines en TS1. Elle a lu le livre « Désert » de J.M.G. Le Clézio. Le prix qu’elle a gagné est un lot de 2 places de cinéma au Méga CGR de Bruay, des livres, un carnet et un stylo-plume ». De plus, sa critique est publiée dans La Voix du Nord d’aujourd’hui. Ses cadeaux lui ont été remis par Philippe Lefait qui est journaliste et présentateur sur France 2.

Les 2èmes ex-aequo du concours sont : Vincent FREMEUX et Fauve THOMAS.

Voici la critique littéraire :
"Le Mirage de Désert ou l'illusion d'un best-seller.
La jeune Lalla vit dans un bidonville, heureuse et entourée d'amis : Naman, le vieux pêcheur, Es Ser, le guerrier bleu et le Hartani, berger muet dont elle est éprise. La plénitude de son bonheur va cependant s'atténuer lorsque sa tante la promet à un homme riche et âgé. Elle s'enfuit avec le Hartani. Une ellipse et la voilà à Marseille. Dix-huit ans et enceinte, elle travaille dans un hôtel de passe. Puis, elle rencontre un photographe qui la fera devenir célèbre, mais, son seul désir est de rejoindre le désert et son berger.
En parallèle, le livre retrace le long périple à travers le désert de «guerriers bleus» fuyant les chrétiens vers 1910.
Ce roman de Le Clezio, né à Nice en 1940, fut best-seller et reçut le Grand Prix Paul Morand décerné par l'Académie française. Influencé par ses origines, par ses incessants voyages et par son goût prononcé pour les cultures amérindiennes, il publie des romans qui font une large part à l'onirisme et au mythe (Désert, 1980).
La légèreté de Lalla transparaît dans un style fluide. Nos yeux s'ouvrent sur notre propre monde. Naman nous transporte dans un univers de légendes. Mais la poésie du paysage est monotone. Plus que lassante l'ambiance devient dérangeante. Enceinte, Lalla travaille dans un vieil hôtel, côtoie des gens misérables, des hommes guidés par la tyrannie de leur sexualité. La lumière éclatante des premières pages se ternie et rien n'anime le lecteur. Même Lalla erre de page en page « Elle ne sait pas où elle va » (P.307). La seule beauté du désert ne suffit plus face à l'ennui qu'il procure. Il est très difficile de ressentir de l'admiration pour ce pays et le narrateur ne nous l'inspire pas. Le récit trop lent, les descriptions ennuyeuses pèsent lourdement sur les paupières. Il semble cependant que la somnolence du lecteur permette de l'amener au rêve que suggère l'intrigue : «Ils sont apparus, comme dans un rêve [...] comme dans un rêve, ils disparaissaient.»(P7 et 439). Alors que l'auteur se rassure, le lecteur tombe dans le songe. Et comme dans un rêve, le sens de l'histoire est incertain, si encore il en a un. La fin, en revanche, est surprenante. D'abord parce que le lecteur, à demi conscient, ne s'est pas aperçu de son imminence, ensuite parce qu'elle est inexistante. En effet, le récit n'a pas plus de sens de s'achever ici que trois cents pages plus tôt. C'est donc un sentiment de frustration mêlé de soulagement qui submerge à la fin du roman. Mais pire qu'un effet soporifique, c'est une véritable déception. À première vue, le livre semblait fascinant. Le titre éveillait la curiosité. Désert. Un univers de légendes et d’images incroyables. C'est avec hâte que nous pénétrions le livre mais en trébuchant que nous réalisions la pauvreté de l'intrigue. Il y a très (très) peu de passages qui engagent le lecteur désillusionné à poursuivre sa lecture, ceux presque dignes d'intérêt se noient dans l'étendue désertique de l’œuvre.
Ce roman est ce qui s'appelle un mirage. Le mirage de Désert. Un livre aussi épais qu'insipide, dont l'effort de lecture ne procurera aucune satisfaction mais plutôt une cruelle frustration. C'est très décevant, cela aurait pu être beaucoup plus captivant. Ouvrage qui vous est conseillé si vous avez du mal à trouver le sommeil !"

Julien LEBLANC du collège A . DEBEYRE de Beuvry, 5ème B

La gagnante du concours de critique littéraire, catégorie collège

La gagnante s’appelle Louise Dhaine, elle vient du collège Verlaine à Béthune dans la classe 3éme 3. Elle a lu le livre « L’apprenti épouvanteur »

Voici son texte de critique ci-dessous :

«Un livre fascinant, qui n’est pas celui d’un apprenti.»
Cher lecteur, cette semaine dans notre rubrique « livre à lire », je vous propose un roman fantastique de Joseph Delaney : « L’apprenti Épouvanteur ». Après « Harry Potter et les reliques de la mort » de J.K Rowling la semaine dernière, nous restons dans le même univers avec ce roman fantastique. Certes le livre de J.K Rowling surpasse celui de Joseph Delaney en tout point mais c’est une agréable alternative. Nous retrouvons un univers de sorcellerie avec des personnages fantastiques et hauts en couleur qui nous font vivre un agréable moment. Dans ce livre de deux-cent soixante-seize pages, sont racontées les multiples péripéties d’un jeune garçon, Thomas Ward, âgé d’environ treize ans qui devient l’apprenti de l’épouvanteur : chargé de débarrasser les hommes des créatures malfaisantes.
Etant le septième fils d’un septième fils, Tomas Ward a un don pour ce métier, mais gare aux sorcières, gobelins et autres créatures sanguinaires qui lui donneront bien du fil à retordre, surtout Mère Malkin la sorcière la plus maléfique qui soit. Mais notre apprenti n’a pas dit son dernier mot…
J’ai vraiment aimé ce livre plein de suspense et de rebondissements, ponctué de moments plutôt angoissants. Ce qui m’a plu, c’est que l’auteur nous tient en haleine dès la première page : nous tombons tout de suite dans l’action et nous y restons jusqu’au bout. J’ai particulièrement apprécié la petite introduction très intrigante qui fait penser à une légende : « un homme est mort à cet endroit […] On l’appelle la pierre des Ward ». Mais qui est cet homme dont le nom est Ward ? Les paris sont ouverts…
Ce livre est facile à lire, intriguant, angoissant, tout ce qu’il faut pour des lecteurs assoiffés d’histoires étranges.
Mais ce livre reste destiné aux enfants et adolescents malgré quelques scènes effrayantes. Je le conseille donc à tous ceux qui aiment les livres fantastiques et qui ont besoin d’évasion. Pour ceux qui ont aimé ce livre, je leur propose la suite dans « la malédiction de l’épouvanteur ». Mais attention ! « Histoire à ne pas lire la nuit…»

En lot, elle a reçu 2 places de cinéma au Méga CGR de Bruay, des livres, un carnet et un stylo plume. De plus sa critique est publiée dans La Voix du Nord d’aujourd’hui.
Son lot lui a été remis par Marie-Christine Zabka qui a été jurée du Livre Inter 2009.
ci-dessus la photo des gagnants du concours de critiques littéraires


Lorédane Emma, Collège A.Debeyre de Beuvry, 5émeB

La gagnante du concours de critique littéraire, catégorie Lycée professionnel

La gagnante s’appelle Vantouroux Amélie, elle est dans la classe 2TA2 au Lycee Professionnel d'Artois de Noeux-les-mines. Elle a lu le livre « L’étincelle » de Jean-Marie Défossez.
Elle a gagné 2 places de cinéma au Méga CGR de Bruay, des livres, un carnet et un stylo plume. Le lot a été remis par Pascal Fioretto, journaliste et écrivain.

Voici le texte d’Amélie Vantouroux :

"D’une étincelle à l’autre
...... de l’étincelle de l’arc à souder à l’étincelle de l’amour.....

Cette histoire se passe dans un lycée. On parle d’un garçon qui s’appelle Emmanuel et qui veut être soudeur. Il devra passer son diplôme de technicien. Mais à cause de Sabine, il ne pourra l’obtenir… Il y aura de l’amitié voire de l’amour entre Sabine et Emmanuel…. Mais ce ne sera pas la seule péripétie…. Il y aura un vol de statue, la statue d’Emmanuel, son ami Julien l’aidera à la retrouver… Emmanuel deviendra aveugle à cause d’une soudure, mais il retrouvera la vue…. Emmanuel obtiendra une récompense à l’issue du concours de statues et surtout verra sa relation avec Sabine avec un autre regard…
L’auteur de ce roman est Jean-Marie Defossez, il est né en Belgique en 1971 et vit aujourd’hui dans une ancienne ferme en Loire-Atlantique. Après sa démission d’un poste de chercheur en zoologie, il a goûté à bien des métiers avant de trouver son bonheur dans l’écriture de romans pour les jeunes ; curieux de nature, du monde et des autres, il aime écrire des histoires qui sonnent vrai et peuvent ouvrir de nouvelles fenêtres sur l’horizon.
Pour moi, c’est un livre fantastique qui contient à la fois de l’amour et de l’amitié. Au début, l’histoire est longue, elle est difficile à suivre mais tout est plus facile à la fin….
Ce qui m’a donné envie de lire cette histoire c’est la couverture, l’image est belle, on voit Emmanuel dans son atelier qui fait jaillir de grosses étincelle de son arc à souder, et, le visage de Sabine, en gros-plan, qui semble regarder ces étincelles avec admiration….
Bien qu’Emmanuel soit un garçon, je m’identifie à lui plus qu’à Sabine… c’est un personnage qui m’a surprise !
La morale de cette histoire est qu’il faut prendre soin des gens qu’on aime et qu’il faut garder l’espoir, qu’il faut en entretenir les étincelles pour être sûr qu’il continue de briller !"

Voici Amélie Vantouroux contente du prix qu’elle a reçu par Pascal Fioretto


Kelly Lehu, 5ème B, collège A. DEBEYRE de Beuvry